La capacité est un élément représenté sous la forme d’un composant qui constitue le système solution du besoin de la partie prenante.
Les capacités peuvent être les Besoin d’une carte d’ordre inférieure.
Illustration de la transformation du type de composant en fonction de l’échelle, la perspective ou la granularité à laquelle on se positionne. Les éléments nommés R sont les repères, les B sont les besoins et les C les capacités.
Une des difficultés rencontrées dans la création d’une chaine de valeur est le respect de l’algorithme de construction de celle-ci. Un facteur de succès important est la nomenclature des composants. La facilité est de mettre le nom des machines, de personnes, des services, des départements, le nom de la marchandise, mais cela sous-entend une gymnastique cognitive qui pénalise la lisibilité de la carte. Ainsi, au lieu de “savon” comme élément de la carte, il est préférable de mettre “se savonner” ou “savonnage”. L’exemple suivant reproduit l’erreur :
Dans ce cas, la gymnastique nécessaire est :
Le savon représente l’activité de se savonner au savon liquide ou au savon solide qui sont à deux phases d’évolution différente. Le savonnage au savon liquide ou solide est une pratique différente de l’activité de se savonner
Pour simplifier la gymnastique cognitive, la version suivante est conseillée :
Le savonnage (sous-entendu l’activité de se savonner) au savon liquide ou solide sont des pratiques à deux phases d’évolution différente.
Du point de vue du randonneur de haute montagne, les capacités sont l’ensemble des éléments qui lui permettent d’arriver à destination et qui répondent à son besoin. Les capacités décrites sur carte de randonnées sont, par exemple, les point d’eau ou les refuges.